Présentation RP des personnages GW2 de Baralai.

Haut-juge Zargabaath

Citation : "L'honneur est mon guide !"
Thème musical : https://www.youtube.com/watch?v=q4Cy_9oOZwk


Zargabaath est un l'un des descendant prestigieux de la lignée de la célèbre Jora dont on connaît peu de choses sur les aventures diverses qu'elle aurait eu. Certains trublions affirmeraient qu'elle aurait eu une liaison passionnelle avec un humain il fut un temps. Mais ceci sont probablement des comptes pour discréditer la belle. Toujours est il que même si cela est vrais, le sang de l’humain se sera bien dilué depuis et tous ses descendants modernes sont bien des norns.
Dans son enfance, Zargabaath se distinguait déjà des autres par sa volonté féroce de défendre les plus faibles, par son sens aigu de la justice et de l'honneur et par son intuition très souvent juste. Issu d'une famille du clan de la panthère des neiges, ses parents, le puissant Aldebarran, dit le taureau et Mü, que l'on surnommait la brebis à cause de son infinie douceur, lui inculquèrent des valeurs de respect, de compassion, de justice et d'honneur. Son père était forgeron, et sa mère tailleuse. En grandissant, les valeurs inculquées par ses parents s'encrèrent en lui et furent ses meilleurs armes pour combattre les problèmes que la vie lui envoyant. Mais, même si il était d'un naturel pacifique et répugnait à la violence, hérité du caractère de sa mère, il était par contre taillé pour le combat et avait hérité de la carrure physique de son père. Alors que sa mère instruisait le jeune norn et lui inculquait valeurs de compassion et de justice, il apprit avec son père l'art du combat et le travail à la forge. Zargaabath parvenait cependant très souvent à défaire les conflit sans avoir à recourir a la violence, ses sages paroles et sa carrure imposante suffisant largement à dissuader les trublions. En récompense de ses efforts, son père lui offrit un puissant maillet fait d'un bloc de glace le plus pur, qui été resté dans la famille depuis des générations. Il aurait même, dis t'on, appartenu à Jora et été créé par elle.
En grandissant, ce norn impassible et lumineux, fut de plus en plus connu a Hoelbrak pour être particulièrement doué pour dénouer les situations difficiles, son sens de l'honneur et de la justice faisant référence dans la cité. De nombreux norns venaient couramment lui demander conseils, ou entendre son jugement pour régler les différents. La maison de la famille de Zargabaath n'était pas au cœur d'Hoelbrak même, mais dans un petit bosquet clairsemé et le jeune norn avait pris l'habitude de s’asseoir au pied d'un magnifique cerisier des neige séculaire lorsqu'il écoutait les plaignants et rendait son verdict. Il disait que cet arbres plusieurs fois centenaire était pour lui symbole de sagesse et qu'il l'inspirait pour chaque problème posé. Zaargabath tentait toujours de rendre la justice avec équité et honneur et ses décisions étaient souvent suivies.
Advint un jour fatidique où Aldebarran alla vendre les produits de sa forge au promontoire divin.
Un soir, le père de Zargabaath assista impuissant à une course poursuite entre une jeune humaine et un homme encapuchonné dans une tunique violette. Le Norn voulut se porter au secours de la damoiselle, mais il arriva trop tard et cette dernière, encore animée de soubresauts se noyait déjà dans une marre de sang. Il se porta sur elle essayant de constater de la gravité de la blessure, tentant, tant bien que mal de la sauver. Une patrouille de séraphins, qui avait été alertée par un mystérieux homme en tunique violette passât alors par là et découvrit Aldebarran taché de sang au dessus de la jeune humaine, morte désormais, malgré tous les efforts du Norn. Le procès fut vite expédié et Aldébarran fut condamné à mort et sommairement décapité.
Ce fut une terrible nouvelle pour Mü et son fils... Eux savaient très bien qu' Aldebarran ne pouvait avoir tué cette humaine, le procès avait été truqué. Ce jour là Zargabaath fit une promesse à sa mère. Il lui promit qu'il ne laisserait pas cet affront a leur famille impuni, qu'il découvrirait le véritable meurtrier et lui ferait payer. Et il se promit à lui même qu'il ne laisserait plus jamais aucune injustice engendrer le mal. Pas tant qu'il vivrait et serait là pour empêcher que cela n'arrive.
Le Norn partit au promontoire et plaida sa cause auprès de la reine Jenah. Malgré les réticences de la comtesse Anise et le fait que la population le voyait comme un fils d'assassin, la reine consentit a l'entendre. Elle fut touchée par les sages paroles du norn, et à la lumière de ces dires et des éléments bâclés du procès, elle conclut qu'il y avait eu, probablement, une erreur de justice. La famille de Zargabaath ne serait plus entachée par ces fausses accusations, c’était le moins que la reine puisse faire, mais elle alla plus loin, à la grande surprise de sa cour. Consciente, par la présente bévue judiciaire, que sa justice était probablement corrompue et impressionnée par les talents et la sagesse de Zargabaath, elle décida en plus de réformer cette institution et de nommer le norn à sa tête. Ainsi Zargabaath devint Haut Juge. Charge qu'il accepta sur le champ en se confondant en remerciements. Cette position lui permettrait ainsi de poursuivre ses investigations sur celui qui avait causé la perte de son père.
Avec Zargabaath aux commandes, la criminalité et surtout la corruption, baissèrent drastiquement au promontoire. Bientôt les récits de ses prouesses et de ses décisions sévères mais justes se répandit à travers toute la Kryte. Et à nouveau on venait le voir pour régler des différents et entendre ses sages décisions. Mais cette fois-ci ce n’étaient plus uniquement les norns d'Hoelbrak, mais tous les peuples, de toutes les villes. Et ce n’était plus sous un cerisier des neiges qu'il rendait la justice, mais dans un très vaste et magnifique tribunal, richement décoré, construit spécialement par la reine pour qu'il y exerce sa fonction en remerciement du travail accomplit. Et derrière le fauteuil dans lequel il présidait chaque séance, était accrochée une magnifique tapisserie présentant son cerisier des neiges. Ainsi il gardait ce lien avec l'arbre alors que sa mère veillait sur l'original, devenue une relique sacrée, symbole d'une justice honorable et incorruptible. Pour asseoir son image de juge lumineux implacable, il se forgea alors une magnifique armure iridescente, imprégnée de magie lumineuse, sa propre lumière, destinée à déstabiliser encore plus le mal qui pourrait se présenter à lui.
Mais malgré tous les efforts du norn, ses investigations, ses contacts, il ne parvient toujours pas a trouver le meurtrier de la jeune femme, et certaines personnes influentes restent hors d'atteintes de sa justice. Une en particulier qu'il cherche à coincer depuis maintenant assez longtemps.
Zargabaath ne désespère pas cependant, sa mère lui a enseigné la patience, et tôt ou tard, sa juste lumière confondra les malhonnêtes.

Sora Kshasa

Citation : "Je suis l'ombre, dissimulée dans la lumière."
Thème musical : https://www.youtube.com/watch?v=buu6Bd72MUk



Que dire de Sora ? C'est en fait une charr très sauvage et discrète, qui préfère garder pour elle sa vie privée. Mystérieuse et énigmatique cette séduisante charr au pelage de neige veiné de noir est une spécialiste de l’espionnage et des renseignements.

Sora est la fille du flamboyant Rajara Kshasa chamane respecté de la légion des flammes et  de Ranira Kshasa, seconde de la légion des cendre. Suite au schisme entre la légion de la flamme et les trois autres légions, le père de Sora fût considéré comme un traître et un paria. Ce qui porta quelque peu préjudice a Sora qui était souvent qualifiée de « fille de traître » un amalgame rapide entre elle et son père était souvent fait.

Comme le veut la tradition charr, les enfants ne sont pas élevés par leur parents. Elle ne les connaissait donc que très peu étant enfant. Toute petite déjà Sora était curieuse de tout et aimait se faufiler pour épier les autres. Elle présentait des qualités exceptionnelle pour les cinq sens. Peu attentive aux discours des précepteurs, elle a toujours préféré s'évader dans la Nature, pour apprécier les moments de quiétude à écouter le vent, libre de voler ou bon lui semble et de se faufiler partout. Pour Sora, la citadelle noire était une prison. Une prison de métal oppressante et horriblement laide dans laquelle elle se sentait mal à l'aise. Ses sens sur-développés étaient un don de la nature, bien peu de charr naissaient ainsi. Mais c’était aussi à double tranchant. Sa vue perçante était lasse des laides constructions charr, l'odeur de souffre des fonderies était insupportable pour son odorat aiguisé, son ouïe fine était gênée par le son ininterrompu des coups de marteau sur le métal, son toucher sensible détestait le contact froid et terne du noir-acier de la citadelle et enfin son goût délicat était révulsé par la quantité d'épices que les plats charrs pouvaient contenir. Elle ne se sentait bien que dans la Nature, y retrouvant ses racines, épier une proie, sentir l'herbe chatouiller ses coussinets, humer l'air frais et vivifiant, entendre le chant des oiseaux ou encore se délecter de fruits sauvages délicieux. Elle aimait la nuit et chaque soir, elle sortait de la cité. Beaucoup la surnommaient l' « attardée », la « primitive » ou la « sauvage » car elle refusait de marcher avec les autres charrs vers le progrès et la domination des races inférieures. Silencieuse et tout en retenue, Sora ignorait les quolibets, elle se sentait en harmonie dans les espaces Naturels, en équilibre sain. Pour elle la vie et la liberté de chaque individu devait être respecté et l'on naissait tous égaux face a la Nature, charrs, hummains, annimaux, végétaux...
Les charr font partit intégrante du monde sauvage de la Tyrie et malgré leurs avancées technologiques, Sora est restée encrée dans les racines de leur race, préfèrent le son harmonieux d'une corde qui se bande et d'une flèche qui fuse, à celui, grotesque et vulgaire d'un coup de fusil.
Avec le temps Sora développa une réelle ampathie pour la nature, le monde sauvage et les animaux.

En grandissant elle montrait des prédispositions très intéressantes pour la chasse et la furtivité, surtout en milieu naturel, malgré son pelage étincelant. Ce qui fut vite remarqué par la légion des cendres. Sa mère voulut renouer le contact avec elle et recruta sa fille au sein de la légion des cendres. Malgré le caractère atypique et sauvage de Sora, le courant passa très vite car Ranira, elle aussi appréciait ces moments de simplicité hors de la citadelle. Elle comptait à sa fille comment les terres du Nord, leurs terres natales, étaient belles en comparaison de la terre fatiguée et blessée d'Ascalon. Par deux fois, lors de la fournaise puis avec le feu belligérant, la Nature avait souffert le martyre ici. Et les charrs n’arrangeaient pas les choses... Polluant les eau, le sol et l'air, déposant leurs déchets... Sora avait ressentit tout cela, la souffrance de la Nature, ses blessures. Et chaque fois qu'elle sortait elle était a la fois heureuse, mais au fond d'elle même elle était triste de voir une nature si souillée, si bien que ses yeux brillaient a chaque fois que sa mère lui racontait les beautés observables au Nord.

Sora se fit rapidement connaître au sein de sa légion et put constituer une petite troupe d'agents et d'espions efficaces dans la récupération d'information et l’éclairage en milieu sauvage. Plus tard le père de Sora, fit amande honorable, et retourna dans le giron de la citadelle noire, grâce à sa fille qui le convainquit d'entrer dans sa tribu. Rajara, comme son épouse avaient été séduits par le caractère de canaille sauvage de leur fille. Elle fût en fait le point d'encrage de leur réunion. Même si les choses furent longues et difficiles leur famille était de nouveau unie et elle compta même un nouveau venu après la naissance de Kisu , le mignon petit frère de Sora.

Les talents de la jeune charr ne restèrent pas bien longtemps inconnus de l'ordre qui a des yeux et des oreilles partout en Tyrie. Sora fut donc discrètement conviée à rejoindre l'ordre des soupirs. Lassée de la citadelle noire et terriblement heureuse de pouvoir enfin découvrir de nouvelles contrées sauvages elle accepta sans attendre, laissant sa petite troupe aux mains de son père. Ses parents étaient fiers de leur fille et peu avant son départ ils lui firent un cadeau. Ils partirent quelques jours pour rejoindre les terres du Nord espérant montrer à Sora les magnifiques contrées qui furent leurs terres natales.
La caravane de voyage fut arrêtée par une norn désemparée, nommée Ulgadis. Des serviteurs de Jormag avaient envahis les ruines sacrées du temple dédié à la chouette, endroit même ou elle avait sucombée. La curiosité de Sora ne se fit pas attendre. La vieille chaman lui raconta alors l'histoire de l’éveil du dragon et du sacrifice de la chouette. Immédiatement la jeune charr fut conquise par ce récit et voulût agir. Elle entraîna sa troupe et aida Ulgadis à purifier le temple de sa souillure. Pas un fidèle de Svanir ne survécut ce jours là. Les chouettes sacrée purent retrouver leur nichoirs en paix et l'une d'entre elle, au plumage éclatant et aux yeux brillants se posa même sur l'épaule de Sora et lui mordilla la corne. Un lien naturel d'amitié se noua instinctivement entre Sora et sa chouette. La chamane de la chouette interpréta ceci comme un très bon signe. L'esprit de la chouette malgré sa disparition, était avec Sora. La charr appela sa nouvelle amie Sorayuki et après avoir été a nouveau remerciée par Ulgadis elle et sa troupe repartirent. Le blizzard était malheureusement trop puissant et les serviteurs de Jormags étaient partout. La prudence imposa à la troupe de faire demi tour. Sora avait peut être un tempérament de feu, mais elle savait analyser les situations et prendre les bonnes décisions. Ses parents ne purent montrer a leur fille leur terre natale, mais pour Sora, ce n’était pas grave, elle aurait le temps d'y aller plus tard, elle était heureuse d'avoir trouver son magnifique familier. Lorsqu'elle partit pour rejoindre l'Ordre des soupirs, en cadeau d’au-revoir, son petit frère lui offrit une petite fronde de bois qu'il avait lui même confectionnée, pour quelle puisse « Battre les vilains méchants ».

Sur le chemin pour se rendre à l'arche du lion, voyageant seule, elle fut attaquée par un groupe de fils Svanir, lors de son passage dans les cimes-froides. Malgré ses prouesses au combat, la supériorité numérique des adversaires finit par l'emporter et elle fut mise en mauvaise posture.
Alors qu'elle allait être exécutée elle et son familier, un norn imposant avec un maillet de glace surgit de nulle part et massacra les fils de Svanir. Sauvée, Sora le remercia, elle avait une dette envers lui et lui devait la vie et celle de son familier. Il se nommait Zargabaath et bien qu'il ne souhaitait nullement que Sora s’acquitte de sa dette, cette dernière insista. Gêné, il lui dit qu'elle pouvait l'accompagner jusqu'au promontoire divin où il se rendait. La rencontre avec l'ordre ne pressant pas, elle accepta. En chemin ils devinrent très vite amis, partageant des valeurs de respect de la vie et d’équilibre. Le norn était intrigué de la voir avec une chouette, esprit sacrée dans sa culture, elle lui raconta alors son aventure à l'abattoir de la chouette ce qui acheva de lier les deux amis. Au promontoire, Sora fut témoin de la nomination de son ami au titre de Haut Juge.

La charr laissa le norn à sa lourde tâche et fût intégrée à l'ordre des soupirs. Elle fut heureuse d'apprendre que l'ordre voyait d'un très bon œil que son ami norn soit aux commandes de la justice. Pour eux il s'agissait d'une personne avisée, juste et honorable. Sora proposa alors de collaborer avec le norn pour ses enquêtes de justices. D'abord réticents, les précepteurs finirent pas considérer que c’était une très bonne idée et lui firent même confectionner une combinaison spéciale pour l'occasion.

De retour au promontoire, l'amie du norn lui fit une proposition pour s’acquitter de sa dette. Zargabaath serait la lumière et jugerait le mal au grand jour et elle, serait l'ombre de cette lumière, menant des investigations secrètes, cherchant des indices, espionnant les suspects, pour apporter des preuves suffisantes pour que le norn puisse confondre les criminels. Sora serait son agent secret personnel, une sorte de détective privé ou d'agent double.
La proposition enthousiasma le norn et à eux deux ils réduisent drastiquement la criminalité au promontoire. La charr conservait l'anonymat bien sur pour ne pas trahir ses différentes couvertures et cette coopération fut très productive à tel point que l'ordre accepta qu'elle poursuive cette mission en plus de celle qu'ils lui délivreraient. Elle même adorait apporter des indices et des éléments de réflexion a son ami sur ses diverses investigations. Et ensemble ils se plaisaient a essayer de résoudre des énigmes parfois bien ficelées par des criminels toujours plus inventifs. Sora était désormais les yeux et les oreilles du Haut Juge.

Le Mécano

Citation : "La souffrance... N'est elle jamais vaine...? Pourtant... Je ne sais toujours pas... Pourquoi je souffre...."
Thème musical : https://www.youtube.com/watch?v=2pFSLGUgD8s



Le professeur N.Gin, alias « Le Mécano » désormais, n'a pas eu vraiment de chance avec la vie. C'est probablement la raison pour laquelle, aujourd’hui, il la méprise avec tant de passion.

Noah est né dans une famille d'ingénieurs très renommée de Rata Sum, la famille Gin. Que de brillants esprits entre Alastor ingénieur en cinétique quantique, et Trilowna ingénieuse en statique des particules. Il paraissait évident que leur petit Noah serait lui aussi un grand chercheur Azura. Les deux grands chercheurs étaient même des piliers du générateur Taumanova. La recherche d'une énergie inépuisable qui pourrait améliorer le quotidien de tous les peuples de Tyrie les motivait et ils s’adonnaient à leur travail avec passion, additionnant leurs compétences pour donner le meilleur de leur collaboration. Ils étaient tellement passionés par leurs recherche dans le réacteur, qu'ils faisaient partie de l'équipe de permanence et résidaient dans les locaux de l'immense structure. Cette recherche d'excellence se montrait aussi dans l'élevage de leur fils unique qui fut choyé, aimé et mit dans les classes les plus prestigieuses.

Noah était un petit azura curieux de tout et avide de savoir, déjà il développait un tallent naturel et une ingéniosité dans les sciences des énergies et de la mécanique dynamique. Il apprit à construire des choses, à inventer des systèmes, à créer des mécanismes, à comprendre la matière et l’énergie.
Consécutivement à ses aînés Zoja et Kudu, qui avaient brillé quelques années plus tôt et avaient étudiés sous la gouverne de Snaff, lui même obtint un titre d'excellence et se destinait à étudier avec les meilleurs précepteur. Des études excellentes se succédèrent et il devint alors le plus jeune professeur depuis plusieurs générations.

Ainsi, pour le féliciter de ses prouesse ses parents décidèrent de l'initier aux recherchent qu'eux même pratiquaient dans le réacteur Taumanova. Noah étant enfant, avait posé de nombreuses questions auxquelles ses parents ne souhaitaient pas répondre tout de suite. Ils considéraient désormais qu'il ,était en age de comprendre et peut être plus tard de les aider et de reprendre leurs travaux. Il lui firent une petite visite guidée des lieux et lui expliquèrent leurs recherches. Noah était au paradis, ses yeux brillaient. Puis... Vint l'explosion... On ne sait guerre encore très bien ce qui se produisit ce jours là, mais les résultats demeurent encore aujourd’hui visibles...
Ce jours là, Noah eut la chance... ou la malchance peut être, de survivre. Peu furent dans ce cas... Ses parents furent tués sur le coup. Dans une tentative de fuite désespérée, leurs corps avaient protégé celui de leur fils, mais... même si le choc ne l'avait pas tué, la toxicité et les radiations avaient fait leur travail macabre sur l'organisme du petit azura.
Les secours parvinrent a extraire le survivant des décombres... Son appareil respiratoire était détruit et il était entre la vie et la mort, dans un état comateux. Ce n’était encore qu'un enfant, mais sans ses parents il devenait orphelin. Les médecin firent leur nécessaire pour le sauver mais vu les dégâts irréparables causés a son organisme et a son appareil respiratoire, ils durent utiliser des méthodes de dernière urgence.

Après une longue période de coma, entre vie et mort, Noah se réveilla. Il se sentait faible... Il respirait difficilement, et souffrait dans chaque centimètre carrés de chair. Les douleurs de son corps le mettaient au supplice. Il constata alors qu'il avait un étrange appareil sur le bas du visage. Les médecin lui expliquèrent qu'ils lui avaient griffé un appareil automatisé de respiration car son propre appareil respiratoire était détruit. Sa voix devint robotique, froide, sans expression ni émotion. Son appareil faisait un sifflement inquiétant a chaque expirations.
Par dessus le marché il suivait un traitement terriblement draconien pour appaiser sa douleur. Ne pouvant plus manger, il était obligé d'enfoncer des capsules de nutriments dans un autre mécanisme prévu a cet effet au niveau de son ancien nombril. Par ailleurs, une partie de ses muscle ayant été détruits, les médecins avaient été obligés de recourir a des greffes biomécaniques, au niveau des jambes et des bras. Dans le cas contraire, Noah aurait été paralysé à vie.

Toutes ces opérations avaient été très coûteuses et avaient engouffré la totalité de l’héritage des défunts parents, le reste ayant volé en éclat avec le réacteur. Noah n'avait plus rien et il ne pouvait plus compter sur l'amour paternel et maternel, il était seul, tout seul. Lorsqu'il fut mis à la porte de l’hôpital faute de moyen pour poursuivre le traitement, les douleurs et la faim redevinrent ses pires ennemies. Elles étaient accompagnées de la solitude et de la tristesse. En le jetant hors de l’hôpital, les médecins l'avaient condamné a très probablement mourir, dans la faim et la souffrance.
Il se morfondit ainsi dans le désespoir et erra dans Ratasum. Il était rejeté de toute part a cause de son allure effrayante, de plus on tenait ses parents pour responsable de l'explosion et il subit haine et quolibets. La douleur finit par devenir insupportable, presque plus que la faim. Seul les mécanismes mécaniques de son corps ne le faisaient pas souffrir et lui permettaient encore de vivre.
C'est dans ces moments de souffrance extrêmes qu'il prit conscience de la faiblesse du corps biologique et de la supériorité de la mécanique. Son esprit avait été très affecté, aussi, lors de l'explosion, la nouvelle de la mort de ses parents, puis tous ses nouveaux coup durs commencèrent à le changer. Autrefois, rieur, amical et généreux, il s'isola, devint sombre et agressif. L'atroce douleur que son corps lui infligeait le rendit finalement fou. Il etait a présent convaincu que les machines étaient supérieures aux formes de vie biologiques.

Il vivait désormais dans la décharge, au fond de la ville, ou l'on jetait ce qui ne servait plus... Oublié de tous. Il n'y avait la que des restes archaïques, des bouts de métal, des tuyauteries rouillées et de l'eau. Avec du tallent et de l'ingéniosité, il fabriqua la toute première créature à vapeur. Son premier golem a vapeur était un modèle à l'aspect certes très archaïque mais totalement fonctionnel grâce au génie de l'azura, n'ayant pas de pièces récentes.
Noah n'a jamais été doué en magie qui pour lui était une chose bien trop peu scientifique. Il ne faisait pas confiance dans la magie, trop aléatoire, trop incertain et que se passerait il lorsque la magie disparaîtrait ? Son Golem étaient le premiers dans la communauté azura n’être fait que de mécanique, pas un seul enchantement. Il venait de découvrir une nouvelle forme d'énergie inépuisable, la « Vapeur éternelle ».
Il envoya alors son golem piller l’hôpital et lui ramener les traitements dont il avait besoin pour vivre. Bien que cela fut une réussite, son ogre mécanique ne passa pas inaperçu de même que ce qu'il volât et le chemin qu'il emprunta au retour.
Noah, fut poursuivit par les pacificateur, il parvint à emporter son butin, mais fût forcé de quitter Rata Sum.

Il erra ainsi, vivotant grâce aux provisions de capsules rapportées par son golem... mais le stock s’épuisait. Sa douleur revint, et sa haine de la vie se renforça. Il finit par échouer dans les ruines du réacteur qui avait été sa demeure... C'est là qu'il le rencontra... Kudu en combinaison de protection et sa coterie de l'Enquest fouillant dans les décombres.
Le chef de l'Enquest avait entendu parlé de Noah et de ses prouesses en mecanique. Par ailleurs, il fut impressionné par son ogre a vapeur et la faculté de l'azura modifié à pouvoir se promener dans cet environnement vicié. Kudu offrit à Noah de rejoindre l'Enquest et de travailler pour eux en échange, ils s'arrangeraient pour qu'ils obtienne le traitement dont il avait besoin pour vivre.
Noah avait toujours admiré Kudu et Zoja, mais la ou Zoja lui avait envoyé les pacificateurs et l'avait  considéré comme un paria et rejeté de Rata Sum, Kudu lui tendait la main. Avant de rejoindre sa nouvelle coterie, Noah ordonna a l'ogre de vapeur de rester dans le réacteur et de récolter des informations, il fallait découvrir ce qu'il s’était passé. Le golem archaïque prit place sur une haute plate-forme au dessus du réacteur et commença ses recherches.

Très vite Kudu et Noah devinrent amis. En effet, ils avaient tout deux le mépris de la vie et des conséquences, ce qui importait était le résultat de leurs expériences et rien d'autre. Tan pis pour les dommages collatéraux. Kudu était intéressé par les golems a vapeurs de Noah, et par sa source de « vapeur inépuisable » mais lui même travaillait sur l’énergie issue de la magie des dragons. Souvent c’était un sujet de débat animé entre eux car Noah n'aimait pas vraiment la magie et ses effets aléatoires alors que dans un système mécanique, il pouvait tout contrôler, Kudu quand a lui considérait les golems de Noah comme archaïques et primitifs. Mais chacun d'eux savait considérer avec intérêt les découvertes de l'autre. Alors que Kudu était en charge du projet du creuset, il avait délégué a Noah, l'esclavage des draguerres dans l'étreinte des lamentations. Durent cette periode Noah gagna en puissance et en notoriété au sein de lEnquest, notamment après l'invention de plusieurs armes et golems, comme par exemple, l'arme bien connu sous le nom de « Méga-rifle ». Ses golems a vapeurs étaient autant diversifiés que très intéressants. On finit même par le surnommer « Le Mécano ». Il conserva ce surnom et en fit son nom de manière permanente, il tirait ainsi un trait sur le passé et pouvait sombrer ainsi toujours plus vers la démence sans se préoccuper de se que penserait ses parents. Alors qu'autre fois il construisait pour améliorer la vie des gens, il créa pour détruire, pour tuer. Des armes, des machines de guerres, des tourelles...
Le mécano gagna en puissance et avec les ressources de l'Enquest, finit par maîtriser lui même la synthèse des capsules qui lui permettaient d’atténuer sa faim. Il se passionna pour l’amélioration mécanique de son propre corps meurtrit et fragile. Remplaçant des muscles, des organes, ajoutant des implants mécaniques, des ajouts métalliques. Il fit de son corps une arme au sens propre, qui lui permettait de faire des choses qu'aucun être biologique ne pouvait faire. Il ne trouva cependant pas de drogue assez forte pour diminuer sa souffrance.

Puis un jour vint ou... Une sylvary... Attendez, ingénieur ? Laide, horriblement laide, fut acceptée au sein de l'Enquest... Pourquoi ? Comment étais-ce possible ? L'enqueste xénophobe acceptait des sylvary ? Des sous êtres ? Et une sylvary ingénieuse, ça peu exister ça ? Non en fait c'est une grosse blague, c'est techniquement impossible, reformulons donc comme cela devrait être...
Un jour, quelqu'un, une voleuse sylvary, s'introduisit dans son laboratoire et déroba les plans de ses golems au mécano. Fou de rage celui-ci manqua de massacrer une bonne dizaine de draguerres et d'assistants. Il n'avait plus confiance en ses subalternes de l’étreinte et il décida de s'isoler dans un atelier secret, il délégua la direction de l'excavation et de l'esclavage des draguerres a une azura du nom de Traza et se retira mystérieusement, sans laisser d'adresse.

Son usine robotique reste encore aujourd’hui inconnue et il est impossible de la localiser. Il est probable que le mécano se soit isolé pour préserver ses découvertes, étant désormais capable de subvenir lui même à son traitement. Le seul qui doit connaître la retraite de son ami doit être Kudu lui même. On note cependant une étrange construction dans le passage de Lornar, gardée par des créatures à vapeur, sûrement en lien avec l'usine.

En fait le mécano attendait le moment propice, le moment où le voleur se dévoilerait. Resté silencieux pendant une longue durée, les événements du jubilé de la reine furent un coup de tonnerre. La sale garce... ! Graaaaa Inadmissible! Elle avait utilisé les plans, SES plans pour faire construire par les etherlames de vilains golems automates moches ! Et avait même prit le contrôle des golems de vapeur qu'il avait laissé à l'étreinte des lamentation ! Inadmissible ! Ses beaux golems de vapeurs, atrocement défigurés par cette plante demeurée et hideuse !
Le Mécano entra dans une monstrueuse colère, il créa une arme unique surpuissante alimentée en vapeur, comme le reste de ses créations. Une fusil étrange capable de désintégrer la matière.
Il allait la tuer oh oui, il la tuerai. Mais il la torturerait sûrement d’abord, il allait prendre tout son temps. La disséquer vive ! Lui arracher les feuilles une par une ! La faire brûler !Mouhahahahahah !Et ensuite il lâcherait son armée sur le monde et détruirait toute forme de vie biologique. Il avait même déjà réussit à plier des organismes biologiques à sa volonté en leur greffant des implants mécaniques. Le monde deviendrait un monde de robots et de cyborgs !